Près de 2.000 conventions signées.

1904 opérations de cessions de créances menées à bien pour 19.514.239 €. C’est le total des conventions de rachat de créances signées par Carnot Investissement depuis 2006. Toutes ont nécessité des diligences et sauf règlement amiable, un recouvrement judiciaire aura été mis en oeuvre. Bientôt la barre des 2.000 opérations réalisées.

Etude de satisfaction: 95,6 % des entreprises nous renouvellent leur confiance

Quel est le niveau de satisfaction des entreprises ayant opéré des cessions de créances commerciales impayées au bénéfice de Carnot Investissement au cours des dernières années ?

Une étude a été menée par une junior entreprise à partir de critères portant sur :

  • La qualité de la relation
  • La rapidité
  • L’efficacité
  • La profitabilité
  • L’information

Les résultats sont très flatteurs tout en révélant quelques pistes d’amélioration. Globalement, l’étude fait apparaître un niveau de satisfaction particulièrement élevé.

Carnot Investissement est perçue comme une entreprise « diligente », « efficace » et avec laquelle les relations sont « faciles » voire « sympathiques ».

Le recours à Carnot Investissement,

  • Réduit les coûts de recouvrement pour 96 % des sondés,
  • Réduit les risques inhérents aux procédures judicaires pour 100% des sondés,
  • Est globalement profitable pour 100 % des sondés.

Aucune entreprise ne considère qu’il serait éventuellement possible de reprendre avantageusement les poursuites.

L’information diffusée est jugée bonne ou suffisante à 100%.

Seule ombre au tableau, l’importance du niveau des procédures collectives fait baisser la perception de l’efficience des procédures de recouvrement judiciaire.

Touche d’humour dans ce dépouillement, c’est un félin qui évoque le mieux Carnot Investissement.

Nous remercions toutes les entreprises qui ont participé à cette étude pour la confiance qu’elles nous témoignent et les assurons de tous nos efforts pour toujours la mériter.

Pas moins de 89 %

Jeudi 22 Janvier 2015

Pas moins de 89 %

C’est le taux de recouvrement par voie judiciaire des créances soldées en 2014 hors procédures collectives chez CARNOT INVESTISSEMENT.

On peut s’étonner qu’avec de tels résultats, le recouvrement judiciaire ne soit pas plus systématiquement utilisé dans notre pays.

Les statistiques des Tribunaux de Commerce font en effet apparaître une baisse constante du contentieux général au cours des dix dernières années.

Il y a deux explications à cela.

La première tient au fait que les assureurs crédit ne poursuivent plus les débiteurs. Etant eux même ré-assurés, ils n’ont pas intérêt à agir.

La seconde tient à l’idée qu’au-delà des frais à engager pour obtenir une décision judiciaire l’exécution de la décision est entourée d’aléas et de coûts non négligeables. La charge globale de l’ensemble des diligences aura été engagée en pure perte si le débiteur dépose le bilan.

La pertinence de l’offre commerciale de CARNOT INVESTISSEMENT en matière de cession de créances s’en trouve renforcée.

Cession de créances et signification

L’opération de cession de créance suppose la signification, au tiers cédé, du transport de la créance entre les mains du cessionnaire.

Cette formalité est prévue par l’article 1690 du Code Civil.

Le terme signification suppose l’intervention d’un huissier de justice.

Il ne peut être question de déroger à cette règle sauf à encourir le risque de se voir opposer un paiement opéré entre les mains du cédant.

S’il remet en cause le monopole des huissiers, le gouvernement est confronté à deux choix.

1°) Substituer la notification à la signification et suivre en cela l’exemple d’autres pays européens.

2°) Décider que la signification n’est plus l’apanage des seuls huissiers ce qui ne manquera pas de poser problème à l’égard des actes d’exécution dont on conviendra qu’ils ne sauraient être effectués par le facteur.

Le lecteur de cet article aura tout de suite perçu où va ma préférence.

Doper les redressements judiciaires, le pot Belge.

L’homologation récente d’un plan de réorganisation judiciaire prévoyant le seul paiement de 15 % des dettes sociales sur trois ans, la première échéance intervenant 24 mois après la décision, m’a pour le moins surpris.

Cette décision émanant du Tribunal de Commerce de Bruxelles ouvre des horizons.

Il est plus facile de redresser une entreprise en la dispensant de payer ses dettes qu’en l’y contraignant.

Mais peut-on vraiment parler de redressement.

A coup sûr se pose la question des droits des créanciers. Jusqu’où est prêt à aller le législateur pour permettre à certaines entreprises de poursuivre leur activité.

La société Carnot Investissement rachète des créances commerciales impayées. Une décôte de 85 % des créances acquises n’est pas même accepté contre un paiement immédiat. Que dire d’un paiement de 5% en 2015, 2016 et 2017 !

Provisionner ou vendre ses impayés

Avec l’arrêté des comptes se pose le problème des provisions sur créances impayées. On sait qu’il est possible de provisionner les créances dans des conditions rappelées sur ce même site Internet.

Reste que cette provision impacte le résultat et révèle aux partenaires une difficulté à « rentrer son chiffre d’affaire » !

C’est une période ou les indicateurs internet prouvent que les entreprises cherchent des solutions.

Céder ses impayés apparaît comme une voie à explorer en priorité.

Plus de créances douteuses.

La présentation des comptes sociaux s’en trouve améliorée et les intérêts de l’entreprise préservés dans le cadre d’une convention de cession réglant les droits et obligations du cédant et du cessionnaire.

Alors n’hésitez pas, vendez vos impayés.

La cession de créance, activité saisonnière ?

Les demandes de cessions de créances s’envolent depuis quelques jours. Sans doute l’approche de la fin de l’exercice n’y est-elle pas étrangère.